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Self-care : au-delà du business, un acte politique

Vous avez sûrement déjà entendu parler de self-care. Faire des masques pour le visage, allumer une bougie ou se mettre au yoga, depuis le confinement, ce concept est à la mode. Et c’est aujourd’hui un immense business.

Mais savez-vous d’où vient vraiment le self-care ? Derrière la tendance marketing se cache une théorie militante. Prendre soin de soi serait un acte politique radical.

Entre les manifestations contre la réforme des retraites, les méga bassines ou encore la désobéissance civile contre l’ouverture de magasins Shein récemment, les activistes ont de quoi être épuisé.e.s. Le self-care, le vrai, serait-il encore un outil militant aujourd’hui ?

Self-care : prendre soin de soi, un acte politique. Un podcast de Mathilde Guilbaud

Remerciements

Un grand merci à toutes les personnes qui interviennnent dans ce podcast, dans l’ordre :

  • Justine ( nom modifié ), du collectif Collage féministe Lille
  • Kazima Raim, journaliste, formatrice, elle anime le podcast L’InConfortable
  • Géraldine Franck, militante associative antispéciste (végane), féministe, elle fait partie du collectif anticrasse et anime les podcasts Devenir woke et luttes kurdes
  • Typhaine D, autrice, comédienne, metteuse en scène, chroniqueuse et videaste féministe. Elle se définit aussi comme artiste, coach, formatrice, conférencière engagée pour l’écoféminisme, l’enfantisme, l’antispécisme. Elle joue en ce moment ses spectacles « La Pérille Mortelle » et « Contes à Rebours » en féminine universelle.
  • Manuela Braud est psychologue, chercheure en sciences de l’éducation et experte du concept de Résilience. Elle travaille au Cabinet Résilience de l’université de Nantes et au quotidien, elle accompagne en psychothérapie les personnes victimes de violences.
  • Simon Cottin-Marx est sociologue, auteur et enseignant chercheur contractuel à CY Cergy Paris Université. Ses recherches s’orientent autour de la sociologie du monde associatif, des relations professionnelles et du patronat associatif, de même que de la sociologie de l’engagement. Il est aussi co-rédacteur en chef de la Revue Mouvements.
  • Limule (nom modifié) du collectif Diffraction
  • Emmanuelle, militante du cercle soin de Dérnière Rénovation
  • Nicolas Da Silva Tomé, coordinateur/formateur de l’association Ressources Alternatives, qui se définit comme une association citoyenne d’éducation populaire. Formation sur la gestion des conflits et la médiation le 25 et 26 octobre.
  • Marie-Laure Guislain

Merci aussi à toutes les personnes qui m’ont donné de leur temps et répondu à mes questions, sans qui la création de ce podcast n’aurait pas été possible.

  • Ludynamite, illustratrice féministe
  • La cellule de soutien-écoute de l’association Prenons la Une, qui milite “pour une juste représentation des femmes dans les médias et l’égalité dans les rédactions”
  • Lunra et Will du collectif Diffraction
  • Juliette du collectif
  • Aruanu de Dernière Rénovation

Enfin, merci à Marie Viennot, journaliste du service économie de France Culture, pour ses conseils, sa bienveillance et son accompagnement dans ce projet.

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